48 lycéens qui avaient été embarqué pour avoir soutenu la Palestine, ont été libéré

?
??

48 lycéens qui avaient été embarqué pour avoir soutenu la Palestine, ont été libéré A Paris, 48 lycéens ont été placés en garde à vue jeudi pour avoir occupé leur établissement en soutien à Gaza. Une cinquantaine de lycéens parisiens, en garde à vue depuis jeudi soir, après avoir occupé un lycée du XXe arrondissement, en soutien au peuple palestinien, ont été remis en liberté hier après-midi. Via: https://www.liberation.fr/societe/police-justice/48-lyceens-en-garde-a-vue-pour-avoir-occupe-le-lycee-helene-boucher-a-paris-en-soutien-a-gaza-20240607_HNLBBMQXX5BIDO7PE6CLXY2MGM/?utm_medium=Social&xtor=CS7-51-&utm_source=Twitter#Echobox=1717757738-1

https://www.leparisien.fr/paris-75/occupation-en-soutien-a-gaza-dans-un-lycee-parisien-la-cinquantaine-deleves-arretes-relaches-07-06-2024-2TSIE4RPHJDYJL3UARJS7YU63A.php?at_creation=Le%20Parisien&at_campaign=Partage%20Twitter%20CM&at_medium=Social%20media

🔴
🇫🇷

Des élèves qui occupaient leur lycée pour protester contre le génocide à Gaza, ont été interpellés par des policiers, armes au poing, qui les ont frappés. Le 6 juin 2024, une cinquantaine de jeunes sont entrés de force dans le lycée Hélène-Boucher, à Paris, pour protester contre la guerre à Gaza. La police a interpellé 48 élèves, mineurs pour la plupart. Arme au poing, « balayettes » et paroles déplacées… des images récupérées par « Le Monde », ainsi que des témoignages, racontent les violences subies par les lycéens pendant cette intervention. Via: https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/06/04/face-a-l-occupation-d-un-lycee-par-des-eleves-pro-gaza-les-methodes-musclees-de-la-police-interrogent_6610456_3224.html

📹

OCCUPATION DU LYCÉE HÉLÈNE BOUCHER, Paris 20e en juin 2024, une vidéo démontre la violence de la répression

🚨
⛓️

Le 6 juin 2024 au lycée Hélène Boucher à Porte de Vincennes à Paris, des lycéens tentent de lancer une occupation en soutien à la résistance palestinienne et contre le génocide à Gaza. Moins de 30 minutes après être rentrés dans l’établissement, plusieurs unités sont déployés par la préfecture, à la demande de l’administration; police nationale, BRAV-M devant le lycée, des militaires de la mission Vigipirate rentrent même dans le lycée, pensant avoir affaire à une alerte terroriste. À l’intérieur du lycée, des lacrymogènes à main sont utilisées, des LBD pointés à même le visage de lycéens qui filment la scène, un commissaire dégaine même son arme de service, le pistolet Sig-Sauer qui équipe la police nationale. Des insultes sexistes et transphobes sont proférées à l’encontre des mineurs présents. Tous les lycéens seront placés en garde à vue, jusqu’à 48h pour certains, et beaucoup sont victimes d’un chantage du juge pour accepter un stage de « citoyenneté » expéditif au lieu d’un procès certe long et contraignant, mais injustifié. Les téléphones sont restés sous scellé un an pour étouffer l’affaire, mais aujourd’hui les images parlent d’elles même…

Laisser un commentaire