Les injections de Beyfortus pourraient provoquer des bronchiolites à VRS

Les injections de Beyfortus pourraient provoquer des bronchiolites à VRS! https://childrenshealthdefense.org/defender/rsv-shot-newborns-mortality-infection-risk/ Merci @ChildrensHD d’avoir lu mon article en preprint!

Je viens de faire la traduction en français de mon article sur le Beyfortus, proposé à toutes les mamans dès la naissance du bébé à partir du 15 septembre Sûr et efficace? https://www.mdpi.com/1467-3045/46/9/617 Analyse de la campagne d’immunisation Beyfortus

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(Nirsevimab) : Efficacité, biais et risques d’ADE dans la prévention du VRS https://www.researchgate.net/publication/384258448_Analyse_de_la_campagne_d’immunisation_au_BeyfortusR_nirsevimab_efficacite_biais_et_risques_d’ADE_dans_la_prevention_du_VRS Résumé Les infections respiratoires à VRS représentent une part importante des admissions à l’hôpital pour des infections respiratoires aiguës. Le nirsevimab a été développé pour réduire la charge hospitalière des infections à VRS (virus respiratoire syncytial) : par rapport au produit précédemment utilisé, il a une plus forte capacité de liaison à la protéine F du VRS et une grande affinité pour le FcRn (récepteur néonatal du fragment Fc de l’IgG), ce qui prolonge sa durée de vie. Le nirsevimab s’est avéré très efficace pour réduire les taux d’hospitalisation liés aux infections par le VRS, mais un nombre important ou inconnu de sujets traités a été exclu des études cliniques et post-commercialisation. Cependant, l’analyse de ces études ne permet pas d’exclure que, dans de rares cas, le nirsevimab facilite et aggrave l’infection par le VRS (ou d’autres infections respiratoires). Cela pourrait être dû à l’ADE (aggravation de l’infection par les anticorps) qui a été observée avec les anticorps dirigés contre la protéine F du VRS lors d’essais sur des vaccins inactivés. Ce risque a été incomplètement évalué dans les essais précliniques et cliniques (exploration incomplète des fonctions effectrices et de la pharmacocinétique du nirsevimab). Les effets indésirables dus à la perturbation du système immunitaire (non étudiés et dus à la liaison au FcRn) pourraient expliquer l’absence de réduction des admissions hospitalières toutes causes confondues dans les groupes d’âge traités. Étant donné le prix élevé du nirsevimab, le rapport coût-efficacité des campagnes d’immunisation de masse peut donc être débattu d’un point de vue économique et scientifique.

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