Michèle Alliot-Marie va être jugée pour « prise illégale d’intérêts »
Selon Le Point, l’ex-ministre Michèle Alliot-Marie est renvoyée en correctionnelle dans un dossier de subvention municipale allouée à une association présidée par son père à Saint-Jean-de-Luz.
L’ex-ministre Michèle Alliot-Marie sera jugée pour « prise illégale d’intérêt » dans une affaire de subvention municipale versée à une association que présidait son père à Saint-Jean-de-Luz. https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-pourquoi-michele-alliot-marie-sera-t-elle-jugee-18-01-2024-2550107_23.php
Le parquet de Nanterre a requis, le 20 octobre, le renvoi devant un tribunal correctionnel de Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy pour des soupçons de « prise illégale d’intérêts ».
Via:
https://www.mediapart.fr/journal/france/261023/l-ex-ministre-de-la-justice-michele-alliot-marie-sur-la-route-d-un-proces-pour-prise-illegale-d-interets#at_medium=custom7&at_campaign=1047
???L’ex-ministre Michèle Alliot Marie est visée pour son rôle présumé dans le versement de subventions à une association présidée par son père, Bernard Marie, lorsqu’elle était adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz.
L’ancienne figure de la droite Michèle Alliot-Marie sera jugée le 1er juillet à Nanterre dans une affaire de prise illégale d’intérêts à la mairie de Saint-Jean-de-Luz.
l’ancienne ministre de la Défense, de l’Intérieur, de la Justice et des Affaires étrangères sous Jacques Chirac puis Nicolas Sarkozy est visée pour son rôle présumé dans le versement de subventions à une association présidée par son père lorsqu’elle était adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz, il y a plus d’une décennie. Une information judiciaire a été ouverte dès 2013 à Nanterre. L’instruction a mis en lumière des subventions de la mairie de Saint-Jean-de-Luz à une association qui organisait le Festival des jeunes réalisateurs de la ville et était dirigée par Bernard Marie, décédé en 2015.
Selon des éléments recueillis pendant l’investigation, entre janvier 2010 et octobre 2012, cette association aurait enregistré sur son compte bancaire des flux créditeurs supérieurs à 260.000 euros provenant notamment de l’Office du tourisme de Saint-Jean-de-Luz, lui-même subventionné par la municipalité. Chaque année, l’association recevait notamment 25.000 euros de la part de la mairie.
Or, entre 2009 et 2013, date de la dernière édition du festival des réalisateurs, l’ancienne figure de la droite était adjointe au maire, en plus de ses fonctions de garde des Sceaux puis de ministre des Affaires étrangères.
Via:
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/michele-alliot-marie-jugee-en-juillet-pour-prise-illegale-d-interets-a-saint-jean-de-luz-20240308
Le procès de l’ex-ministre Michèle Alliot-Marie s’est ouvert lundi 1er juillet. Le parquet de Nanterre a requis, ce mardi, 2 ans de prison avec sursis et 50 000 € d’amende contre Michèle Alliot-Marie. À l’époque adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz, elle est soupçonnée d’avoir voté des subventions destinées à l’association présidée par son père. Le procès de l’ex-ministre Michèle Alliot-Marie, soupçonnée de prise illégale d’intérêts de 2010 à 2012 alors qu’elle était adjointe à la mairie de Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), s’est ouvert lundi devant le tribunal judiciaire de Nanterre. Cette suspicion de prise illégale d’intérêts repose sur « le fait d’avoir pu voter des subventions (municipales) dont certaines étaient susceptibles d’être ensuite répercutées vers l’Association pour l’organisation des festivals (AOF) », présidée par le père de Michèle Alliot-Marie. L’ancienne ministre de la Défense, de l’Intérieur, de la Justice et des Affaires étrangères sous Jacques Chirac puis Nicolas Sarkozy, âgée de 77 ans, participait à l’époque aux votes des subventions municipales en tant qu’adjointe au maire. Michèle Alliot-Marie, présente à l’audience, s’en défend : il existe une « confusion » dans l’esprit de l’accusation, le budget voté « allait à l’Office de tourisme, qui décide librement de ses prestataires » dont elle n’avait pas connaissance à l’avance, a-t-elle assuré à la barre, très droite dans son costume bleu sombre. « Sur les 18 ans (de vie du festival à Saint-Jean-de-Luz), ça a toujours été l’AOF qui organisait ce festival : est-ce que c’était clair que celui-ci était déconnecté de l’AOF ? Je ne suis pas si sûre », nuance cependant la présidente. Via: https://www.mediapart.fr/journal/france/190124/l-ex-ministre-michele-alliot-marie-renvoyee-en-correctionnellehttps://www.leparisien.fr/faits-divers/prise-illegale-dinterets-michele-alliot-marie-devant-la-justice-douze-ans-apres-les-faits-01-07-2024-ICSVPCPHDFCNLHAIIOYSJBPGUQ.php
L’ex-ministre Michèle Alliot-Marie est condamnée à 6 mois de prison avec sursis pour prise illégale d’intérêts. Ses avocats ont immédiatement annoncé qu’ils allaient faire appel. 260.000 € de subvention pour une association présidée par son père Dans ce dossier, l’ancienne ministre de la défense, de l’intérieur, de la justice et des affaires étrangères sous Jacques Chirac puis Nicolas Sarkozy était visée pour son rôle présumé dans le versement de subventions à une association présidée par son père lorsqu’elle était adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz. L’ancienne ministre Michèle Alliot-Marie a été condamnée par le tribunal correctionnel de Nanterre à six mois d’emprisonnement avec sursis pour prise illégale d’intérêts de 2010 à 2012, alors qu’elle était adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz L’instruction a mis en lumière des subventions de la mairie de Saint-Jean-de-Luz à une association qui organisait le Festival des jeunes réalisateurs de la ville et était dirigée par Bernard Marie, mort en 2015. Selon les enquêteurs, cette association aurait perçu sur son compte bancaire, entre janvier 2010 et octobre 2012, plus de 260 000 euros provenant notamment de l’office du tourisme de Saint-Jean-de-Luz, subventionné par la municipalité. Chaque année, l’association recevait également 25 000 euros de la part de la mairie. Entre 2009 et 2013, date de la dernière édition du Festival des jeunes réalisateurs, Mme Alliot-Marie était adjointe au maire en plus de ses fonctions de ministre. « MAM » participait ainsi « personnellement ou par procuration » aux votes portant sur les budgets, comptes financiers et conventions d’objectifs de l’office du tourisme, ont établi les enquêteurs. Via https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/09/06/l-ex-ministre-michele-alliot-marie-condamnee-a-six-mois-de-prison-avec-sursis-pour-prise-illegale-d-interets_6305678_823448.html