Depuis plusieurs années, articles scientifiques et documents officiels signalent des effets sur la santé et l’environnement (disparition du ciel bleu, maladies, pollution, appauvrissement de la couche d’ozone, qualité et quantité du rayonnement solaire, sécheresse, propriétés électriques de l’atmosphère, etc…). Des documents reliant ces traînées persistantes (chemtrails) à la technologie de modification de la météo par pulvérisations chimiques montrent que leurs teneurs semblent être particulièrement concentrées en aluminium (Al), baryum (Ba), nanoparticules et soufre. Ni l’aluminium, ni le baryum, ni les nanoparticules ne sont surveillés dans les analyses internationales de la pollution atmosphérique. Un rapport militaire de 1996 a montré que la technologie électromagnétique nécessite des pulvérisations chimiques pour manipuler la météo, ajoutées à l’utilisation de la nanotechnologie pour créer une météorologie artificielle. En 2009 par un rapport de l’US Air Force, selon lequel vers 2030, avec l’aide de la nanotechnologie, l’armée américaine serait capable de créer (et pas seulement de modifier) le temps (tempêtes, brouillard, nuages, etc…) dans une zone définie. Les injections d’aérosols stratosphériques (SAI) endommagent la couche d’ozone, ce qui a été corroboré par un modèle de géo-ingénierie aux sulfates, le rayonnement solaire devient de mauvaise qualité et très agressif. Un réchauffeur ionosphérique tel que HAARP et la géo-ingénierie solaire par SAI peuvent agir en symbiose pour optimiser leurs actions respectives sur le climat. Les pulvérisations atmosphériques de produits chimiques (principalement métalliques) sont programmées pour coïncider avec le lancement de HAARP dans les années 90. Les agences d’espionnage (CIA et autres), financent la recherche climatique dans le but de trouver une arme météorologique. A noter que Bill Gates fait également partie des puissants bailleurs de fonds de cette technologie. Bien que ne faisant pas partie de la géo-ingénierie, il existe une méthode similaire et tout aussi polluante. L’épandage de sable du Sahara, une autre technologie permettant de modifier la diffusion de la lumière solaire dans la haute atmosphère. Cela pourrait expliquer, pour certains d’entre eux, les dernières années de retombées de poussières de sable du Sahara en France et en Espagne, qui ont obscurci le ciel et provoqué une pollution de l’air. A noter que les incendies de forêt font partie des armes environnementales mises en œuvre par l’armée américaine. #climat #chemtrails #haarp #manipulations #mensonges
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