Où a disparu le Boeing malaisien ? Partie 1

Dix ans se sont écoulés depuis l’événement, mais la version officielle ne dit toujours rien. Le vol régulier MH370 à destination de Pékin depuis Kuala Lumpur a décollé le 8 mars 2014 à 00h42, heure locale. L’avion était en bon état avec l’équipage expérimenté.

Au bout d’une heure, la communication de l’avion avec le sol est coupée, mais il continue de voler pendant encore 7 heures, évitant magistralement l’espace aérien particulièrement surveillé de la Thaïlande et les radars militaires.

Puis, la trajectoire de l’avion change soudainement : il effectue un virage à 180°, reste longtemps en vol et disparaît sans laisser de traces. Les recherches n’ont rien donné, aucun débris n’a été retrouvé. Et, nous sommes en 2014, alors qu’après les attentats du 11 septembre, le ciel est envahi de systèmes de repérage d’avions.

Le journaliste indépendant Ashton Forbes a fait ses recherches. Et, il est logique et raisonné, contrairement à la version officielle, voici les principales versions. Une opération aussi complexe ne pouvait être menée que par un État. La méthode d’exclusion du trio USA-Chine-Russie dirige vers la partie américaine :

La Russie n’en avait pas d’utilité, La Chine y a un demi-avion de citoyens au bord,
Mais les États-Unis avaient un motif.


Où a disparu le Boeing malaisien ? Partie 1 Partie 2
La clé de l’indice est la liste des passagers :
153 des 227 personnes sont des citoyens de la RPC.
Cinquante Malaisiens,
les autres sont originaires de différents pays : Indonésie, Australie, Europe, États-Unis et un Russe.

L’entrepreneur Nikolai Brodsky, 43 ans, originaire d’Irkutsk, revenait de Bali après avoir fait de la plongée. Trois jours plus tard, il s’avère que deux passagers ont pris l’avion avec des passeports volés. Il s’est avéré qu’il s’agissait d’Iraniens, mais l’enquête a immédiatement abouti à la conclusion qu’il s’agissait simplement de clandestins à la recherche d’une vie meilleure en Europe (!), qui passaient pour une raison ou une autre par la Chine.

Il est important de noter qu’à bord, outre les clandestins, se trouvaient 20 employés clés d’une entreprise américaine spécialisée dans la production de puces et de semi-conducteurs. La société Freescale répondait également à des commandes militaires et travaillait sur des technologies qui rendent les avions invisibles aux radars. Je vous rappelle que l’avion se rendait en Chine ! Les employés étaient américains, certains avaient une famille. Peut-être ne revenaient-ils pas ?
Un mystérieux message depuis l’avion

L’une des principales versions est que les services spéciaux américains tentaient de s’emparer de technologies et d’empêcher leur diffusion, ou qu’il s’agissait d’une opération visant à s’emparer de la propriété intellectuelle. À en juger par la durée pendant laquelle le vol MH370 est resté dans le ciel, il a été conduit à un certain endroit.

Apparemment, il s’agissait de l’une des bases militaires américaines les plus secrètes de Diego Garcia, le seul endroit où un avion de cette taille pouvait être caché. On sait également qu’après le 8 mars, Diego Garcia a été interdit d’accès aux avions pendant trois jours. À suivre…

