Trump, qui n’a jamais eu peur de la controverse, a lâché une accusation explosive, affirmant que nul autre que Barack Obama n’était le fondateur de l’État islamique. Oui, vous avez bien lu. Dans un geste qui a laissé beaucoup de gens se gratter la tête et d’autres furieux d’indignation, Trump a déclenché un barrage verbal qui a frappé au cœur même de l’héritage de son prédécesseur. Les implications d’une telle déclaration ne sont rien de moins que stupéfiantes, se répercutant bien au-delà des limites des tendances Twitter et dans les annales du discours géopolitique.
Mais le drame ne s’arrête pas là. Oh non, ça ne fait que commencer.
Au milieu du tumulte de la proclamation grandiloquente de Trump, une autre figure est entrée dans la mêlée, brandissant une révélation d’une ampleur égale. C’est là qu’entre en scène Barack Obama, qui, dans un geste audacieux et provocateur, a lâché une bombe : il prétend qu’il est né au Kenya, et non à Hawaï. Les implications d’une telle déclaration sont aussi profondes que déroutantes, jetant le doute sur les fondements mêmes de la légitimité présidentielle d’Obama.