L’agence d’État Viginum, sous couvert de lutte contre les fake news et les ingérences numériques étrangères, surveille en France nos publications sur les réseaux sociaux. Elle est même « autorisée à mettre en œuvre un traitement informatisé et automatisé des données à caractère personnel ».
Une mise sous surveillance de toute la population.

Déjà, dès 2021, les pouvoirs publics s’immisçaient dans Facebook, Instagram, Twitter ou Linkedin, mais aussi Ebay, Rakuten ou LeBonCoin en matière de fraude fiscale. À présent, « de telles collectes potentiellement très larges », piloté par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), dépendant directement de Matignon, n’ont même pas nécessité de loi : un simple décret, avec l’aval du Conseil d’État,sans débat parlementaire, dont la mise en oeuvre fait appel à des prestataires privés (Sahar et Storyzy notamment).
Or, sur quels critères juger que des allégations sont « manifestement inexactes ou trompeuses » ? Quand peut-on parler d’ « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nations »? Et ce, pendant combien de temps ? « Notamment durant les périodes électorales ». Donc un flicage à durée indéterminée, qui ne concerne pas du reste que le diffuseur d’information, mais tous ceux avec lesquels il est en contact.
La CNIL s’inquiète aussi de ce que « ces informations sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d’aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle ». Ainsi, celui qui qualifiera tel personnage de l’Etat de pédéraste, de dépravé sexuel, verra ses communications décortiquées jusqu’à la dernière avec beaucoup d’autres éléments jugés compromettant qui pourront être utilisé pour faire pression sur son auteur, le faire chanter.
La preuve ? On la trouve dans ce qui suit : « la collecte automatisée d’un grand nombre de données à partir des plateformes concernées, selon certains paramètres déterminés par avance (au sein des fiches dites de « traçabilité », implique la collecte et le traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies ». Cela signifie que l’on ne collectera pas seulement les données d’ordre politique mais toutes les autres, fichant ainsi tous les opposants, mieux que le faisait la Stasi ou le KGB.
D’ailleurs, la CNR, n’est pas dupe et écrit : « certaines données à caractère personnel, présentes dans les notes d’analyse précédemment évoquées, seront adressées à de multiples services étatiques et administrations ainsi qu’à des homologues étrangers ». En termes clairs ces collectes permettront des « notes d’analyse », c’est-à-dire de fiches de police constituées sur tout un chacun et utilisables par tout service de l’Etat qui le jugera utile à son action.
Sachant que les infoxs sont avant tout tricolores, et non le résultat de puissances étrangères, on comprend aussi l’intérêt des autorités à accroître en interne la détection de toute dissidence, à des fins électorales, liberticides ou sécuritaires. D’autant que le problème est de savoir ce qu’est un message « trompeur », qui le signale, et dans quel but.
La France peut aussi manipuler l’information. Et elle le fera d’autant mieux par le traitement du maximum de renseignements « hostiles » en amont. Attention donc au faux fact checking ou fausses fake news, surtout si cela est présenté avec toute la légitimité de l’autorité publique d’une agence d’État.
Via https://twitter.com/MDIALIBREVRIFI1/status/1760416962717356356?t=AMz5QPg2fE6sDKdUb_apFw&s=19

Éric Verhaeghe, fondateur du Courrier des stratèges, alerte sur le service d’État Viginum qui a fermé 12 chaînes Telegram françaises :
?? »Je vous le garantis, tôt ou tard, nous aurons des scandales qui vont apparaître, car il est évident que les pouvoirs qui sont donnés aux membres de #Viginum vont bien au-delà de l’interdiction de quelques canaux sur Telegram! »
Réécouter l’émission?? https://youtu.be/H8x7YI8bb04?feature=shared
Via https://twitter.com/Tocsin_Media/status/1762133823582556372?t=XJfGJtV3f54G2s6QjR91Ag&s=19
? DOSSIER MANIPULATION : INSTALLATION DE LA DICTATURE.
C’est tellement vrai !
L’installation de la dictature sous des airs de démocratie,
Cela a commencé lorsque nous avions dit NON au traité de Maastricht,
Jusqu’à aujourd’hui où les 49-3 sont devenus monnaie courante…
Bref, il faut vraiment ouvrir les yeux.
➡️?? PÉTITION VIGINUM : NON au nouveau Ministère de la Vérité en France !
Texte – TOCSIN
https://www.tocsin-media.fr/stop-censure-transcript/
➡️?? VIDÉO : Clémence HOUDIAKOUVA , Adina de SOUZY et Slobodan DESPOT.
»L’agence d’État Viginum a publié un rapport qui a permis au gouvernement de fermer immédiatement une vingtaine de chaînes d’information sur Telegram.
Alors, vous savez, c’était sous couvert de lutte contre les ingérences numériques étrangères.
Mais en fait, cette agence s’attaque également à tout ce qui pourrait représenter des réseaux alternatifs.
Je cite le rapport même de Viginum.
Ces chaînes publiées, donc les chaînes qui ont été fermées, publient également sur d’autres thématiques proches des sphères complotistes francophones qui tendent à remettre en cause la parole politique, les médias ou encore les différentes décisions prises au sein de la société.
Des organisations internationales comme l’OTAN, l’ONU et l’Union européenne, par exemple.
Infamie, donc. On a osé critiquer ou on ose critiquer l’OTAN, l’ONU et l’UE.
Et pour eux, évidemment, dès qu’on critique ces institutions, ça vient forcément du terrible méchant grand russe.
Infamie pour la Macronie et censure.
Le 14 février, l’Assemblée nationale a rétabli, vous savez, l’article 4, également, dont on a parlé, de la fameuse loi sur les dérives sectaires.
Eh bien, ça nous rappelle les 12 heures de la psychiatrisation des ennemis politiques… »
(Découpes et montages extraits de (59mn)
https://youtube.com/watch?v=SJt-U4JTys4&feature=shared)
TRIBUNE – L’ironie d’une Europe libérale prêchant la censure et la surveillance. Quand les lois empiètent sur la liberté, qui protégera nos droits ?

Police morale sur Internet : le gouvernement veut franchir une nouvelle étape
Nous avons évoqué la semaine dernière les révélations de la Cour des Comptes sur l’utilisation des fonds publics pour mener des opérations de contre-influence sur Internet à destination des citoyens ordinaires. Il est désormais acté que cette pratique existe sous le couvert trompeur de la lutte contre l’islamisme. Visiblement, le gouvernement ne se satisfait pas de cette surveillance généralisée et de ces pratiques d’infiltration cognitive destinées à neutraliser les opposants “complotistes”. La ministre Sarah El-Hairy vient d’annoncer des “maraudes numériques” où des internautes fonctionnaires viendront alerter les jeunes filles sur les risques de prostitution. Une fois de plus, c’est sous le couvert de la protection que l’Etat avance pour justifier une banalisation de l’ordre moral.
Viginum le service de propagande du Reich sioniste mondialiste macronazi
Le ministre Jean-Noël Barrot : « Nous sommes pilonnés par la propagande russe. Viginum nous permet de contrer ces menaces. Et nous mettons une pression maximale sur les réseaux sociaux pour éradiquer les fausses informations. »