Message important à l’attention de toutes les femmes enceintes ! Les preuves selon lesquelles ils ont poussé des expérimentations néfastes sur les femmes enceintes ne cessent de s’accumuler ! (https://t.me/vivrecorrectement/4960)
Cet article intitulé « Transmission transplacentaire du vaccin à ARNm COVID-19 : preuves issues d’analyses de sang maternel, placentaire et ombilical post-vaccination » a été publié dans la revue scientifique et médicale American Journal of Obstetrics and Gynecology, rédigé par Lin et ses collaborateurs, https://www.ajog.org/article/S0002-9378(24)00063-2/pdf. Si vous avez ressenti un frisson en lisant le titre, il me semble que vous êtes en avance sur la moyenne dans votre compréhension de toute cette folie. Si vous ne l’avez pas ressenti, vous devriez peut-être y prêter une attention particulière…
Ce que Lin et ses collaborateurs ont fait, c’est évaluer la présence d’ARNm synthétique (du vaccin génétique Pfizer) dans le placenta et le sang du cordon ombilical des femmes enceintes qui avaient reçu des doses de Pfizer et/ou Moderna peu de temps avant l’accouchement. Il est important de dire qu’il s’agit d’une étude qui se concentre sur seulement deux cas et quelques contrôles ; Il ne s’agit pas d’une étude épidémiologique. Cela ne diminue en rien l’importance de l’étude ; cela justifie plutôt la réalisation très rapide d’une étude beaucoup plus vaste !!
Le premier cas est une femme de 34 ans, qui a reçu 4 doses du vaccin génétique synthétique à ARNm (de Pfizer et Moderna) entre 38 semaines de gestation et les deux jours précédant l’accouchement par césarienne. Le deuxième cas est une femme de 33 ans qui a reçu une première dose du vaccin génétique Pfizer à 40 semaines de gestation et une deuxième dose 10 jours avant son accouchement naturel. Comme contrôles négatifs, ils comprenaient des placentas, du sang de cordon ombilical et du sang maternel de femmes récemment accouchées qui n’avaient pas reçu de vaccins anti-COVID, et comme contrôles positifs, ils ont utilisé les tissus auxquels une dose du vaccin génétique avait été ajoutée.
Leurs résultats sont la preuve que le « vaccin » synthétique à ARNm ne reste pas au site d’inoculation (on le sait depuis octobre 2020 pour ces produits « anti-COVID ») et qu’il atteigne le placenta et le fœtus. Par conséquent, ils prouvent qu’ils traversent la barrière hémato-fœtale et atteignent l’environnement intra-utérin de manière active et viable… ce produit, annoncé en grande pompe comme étant « sans danger » pour les femmes enceintes et leurs bébés, atteint le sang de ces bébés. Je vais le dire autrement pour que ce soit plus clair : la thérapie génique atteint les bébés dans l’utérus. Protégez-vous de leur folie !
Rôle des vaccins contre la COVID-19 dans la causalité des maladies cardiovasculaires. Adjuvants dans les vaccins contre la COVID-19 : spectateurs innocents ou complices coupables d’avoir attisé le syndrome cardiaque COVID… « Sur la base de l’analyse de la littérature, nous émettons l’hypothèse que les adjuvants inclus dans les vaccins contre la COVID-19 sont les véritables responsables des troubles cardiovasculaires. Le fonctionnement de divers événements de signalisation pathologique sous l’influence de ces adjuvants, notamment l’auto-immunité, l’effet spectateur, la toxicité directe, le syndrome des antiphospholipides (APS), l’anaphylaxie, l’hypersensibilité […] étaient en partie responsables de l’apparition de troubles cardiovasculaires […] Cela étant dit, nous préconisons fortement une sélection minutieuse des adjuvants vaccinaux inclus dans les vaccins contre la COVID-19 afin de prévenir de futurs troubles cardiaques indésirables. » SÛR !? https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/25151355241228439