Résistance–LGBT, immigration, Ukraine: en dépit du chantage financier, Orban refuse de céder un pouce au diktat progressiste de l’UE
«Il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour nous obliger à laisser entrer des migrants», a déclaré le Premier ministre hongrois.
Et il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour lequel nous laisserions nos enfants entre les mains d’activistes LGBT. C’est impossible
Budapest est en conflit ouvert avec Bruxelles, qui vient de geler environ 20 milliards d’euros de fonds destinés à la Hongrie, invoquant «l’Etat de droit» et les «droits de l’homme».
Autant de concepts que l’UE ne manie que pour faire avancer un agenda progressiste, auquel les Hongrois sont hermétiques.
«Nous ne pouvons pas céder sur l’immigration, le genre et la guerre. Ces questions sont plus importantes, plus précieuses dans la vie que l’argent.»
La Hongrie de Viktor Orban, qui bloque par ailleurs toujours l’aide militaire de 50 milliards promise par Bruxelles au régime de Kiev, doit assumer la présidence tournante du Conseil européen en juillet.
Une éventualité qui effraie Bruxelles, qui cherche à ouvrir à son encontre une procédure en s’appuyant sur l’article 7 du Traité sur l’UE.
Jamais utilisé dans l’histoire du bloc, il permet de suspendre un membre pour «violation persistante» des valeurs de l’Union.
➡️➡️ Pour «protéger la démocratie», des eurodéputés lancent une procédure «historique» visant à priver Orban de son droit de vote
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