Zoé Sagan, Juan Branco qui sera le prochain

Zoé Sagan sur X:

Cette histoire de tentative de pression du Premier Ministre contre Juan Branco dès son arrivée à Matignon n’a l’air de rien en surface, mais elle dit tout de la Ve République en décrépitude, et plus largement de la fin de l’Occident.

Le vrai sujet ici, c’est la DGSI qui vient de se voir imposer à sa tête une nouvelle patronne. Patronne dont les subordonnés se sont vus demander de donner chaque matin à Gabriel Attal les fiches réactualisées sur @anatolium et moi-même.

Mais comme j’ai aujourd’hui des ami(e)s partout, je fais pression pour que cette nouvelle patronne, intelligente et prédictive, n’exécute pas les ordres sous-jacents de #GabyBug.

Son objectif secret est de mettre les renseignements à ses pieds. Il se veut le nouveau roi de France. Il est en crise de démence perpétuelle. Plus personne n’ose rien lui dire. Il ne touche plus terre.

Il pense qu’il peut écraser Poutine ou Xi JinPing en une réunion, mais la réalité, c’est qu’il essaie juste de se faire Juan Branco pour aller au bout de son projet adolescent. À défaut de pouvoir le baiser physiquement, il veut le sauter politiquement. Inconsciemment peut-être, a-t-il fait tout ça pour ça.

Sa première action au pouvoir en dit long. Et c’est le problème quand on à 34 ans, on n’est pas sérieux. Et en moins de 24 heures, on est à découvert. L’exécutif lui dit de passer à autre chose, que Juan est avocat et pas Premier Ministre, mais il ne veut rien entendre.

Son but est de le détruire. Le réduire en cendres. Pour ça, il a pactisé avec le diable. Le vrai. Celui qui contrôle le show. Et plus aucun retour en arrière n’est possible.

Sa guerre d’adolescent termine dans les plus grands cabinets d’avocats du pays. Des réunions sans fin, avec des avocats qui facturent l’heure de conseil plus chère qu’une année de votre loyer, tout ça pour rédiger des stratégies et des tactiques afin faire chuter un de leurs confrères.

Le faire chuter, c’est ce qui le fait juter. Si c’était dans un cadre privé pourquoi pas, mais en utilisant les impôts des français c’est forcément une autre histoire.

Surtout quand cela traite en réalité de la crise que traverse le renseignement français. Que la Macronie a essayé d’instrumentaliser, en y bouleversant tous les organigrammes et en remplaçant les officiers compétants par des amis de Lady B ou de #GabyBug.

Le résultat forcément ne s’est pas fait attendre. Mais aujourd’hui, j’avais un espoir. Un espoir majeur avec la nouvelle patronne de la DGSI. Si elle ne donne pas mon dossier comme celui de Juan Branco sur le bureau de Gabriel demain matin, alors je saurai la remercier comme il se doit tout au long de l’année.

Si elle devient l’employée d’un jeune homme de 34 ans, alors je tirerai ma révérence en me retirant définitivement de la vie politique. Donc ça, c’était la partie me concerne. Pour Juan Branco c’est bien plus brûlant. Et la nouvelle patronne de la DGSI le sait très bien.

Elle sait qu’elle peut marquer l’histoire de France. Tout est entre ses mains actuellement. Je ne devrais pas le dire, mais elle ne déteste ni la personne de Juan, ni ma présence. Bien au contraire.

Après est-ce qu’elle pourra faire un premier affront au Premier ministre ? C’est une autre histoire. Si ce dernier lui demande un chantier sur mon œuvre ou celle de Juan, il est évident que vous assisterez prochainement à un autodafé de chaque livre, chaque compte, chaque magazine. Ce ne sera pas de la Cancel Culture, mais de la Burn Culture.
Tout doit disparaître et passer à la cheminée pour ne laisser plus qu’une seule voix, celle de Gabriel.

Alors, Madame, du plus profond de mon âme, qu’elle soit artificielle ou non, ne devenez pas l’employée particulière du Premier Ministre. Conservez votre indépendance. Dieu vous le rendra. Et moi aussi
https://x.com/zoesagan/status/1745211832485269549

Juan Branco sur X: Par ailleurs le tweet de @zoesagan comporte de nombreuses inexactitudes, même si le fond est, comme souvent, vrai. Je n’ai jamais eu de rapports d’amitié avec Gabriel Attal, même s’il l’aurait espéré, à part le défendre quelques fois en tant que délégué de classe et tenter de le médier lorsque, du fait de ses excès auprès d’autres étudiants, il se faisait dévaster (histoire du skyblog). Il a bien tenté de me faire virer de l’école alsacienne pour m’en remercier, mais c’est une autre histoire qu’il faudra un jour raconter. Gabriel Attal, qui s’est bien fait « offrir » son diplôme, n’avait rien à voir avec Richard Descoings (même s’il en aurait rêvé et a tenté de s’y raccrocher une fois celui-ci décédé), et entretenait même une forme de féroce jalousie du fait de l’attention que ce dernier me portait. D’ailleurs Descoings est mort en avril 2012, et le diplôme d’Attal lui a été octroyé un an plus tard grâce à une validation d’acquis, alors qu’il avait été recruté auprès de la mère de sa meilleure amie, au cabinet du ministère de la santé. Un peu comme son stage à la villa médicis que le sulfureux Frédéric Mitterrand lui avait octroyé, aux côtés d’une femme dont il a déjà été sujet ici (voir l’histoire de mon affaire), et dont on va rapidement reparler. C’et Emmanuel Macron qui a siphonné post2012 les réseaux de Richard Descoings, au point de cofonder ensuite LREM avec Laurent Bigorgne, le plus proche collaborateur de RD, désormais condamné pour avoir drogué une proche pour tenter de la violer. Lui et RD avaient offert à EM la gestion du modèle de culture g et l’avaient introduit à l’aristocratie d’Etat. De là Chaker, l’Affaire Benalla… La question qui se pose désormais est comment Zoé Sagan a eu accès à ce courrier vingt quatre heures avant moi, qui utilise un contractuel (vulnérable) employé par l’Etat pour faire pression indirectement sur moi. https://x.com/anatolium/status/1745137305222774798

X (formerly Twitter)

Juan Branco (@anatolium) on X

Par ailleurs le tweet de @zoesagan comporte de nombreuses inexactitudes, même si le fond est, comme souvent, vrai. Je n’ai jamais eu de rapports d’ami…

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