Chère amie, Cher ami,
Vous le savez, ce n’est pas dans les habitudes de SOS Éducation de relayer les pétitions d’autres associations…
… Mais aujourd’hui, le sujet est beaucoup trop important !
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de constituer un groupe d’experts entièrement transaffirmatif pour élaborer les lignes directrices de ses recommandations à venir sur « la santé des personnes trans et des personnes de genre différent », dont les enfants.
Ce groupe a été nommé en catimini au début des vacances de Noël, bien évidemment quand tout le monde avait la tête ailleurs.
L’objectif ? Que leurs arrangements entre amis passent inaperçus !
C’était sans compter sur l’engagement d’une poignée d’associations à travers le monde qui veillent à protéger les enfants, avec des moyens limités, mais avec efficience.
Le groupe désigné par l’OMS rassemble des « experts » gavés de conflits d’intérêts, qui prônent la transition et donc la médicalisation des enfants.
On y trouve, entre autres, la fondatrice d’une clinique du genre, qui engendre sûrement un bénéfice financier monstrueux… Entre nous, pensez-vous qu’elle va défendre une approche mesurée sur les transitions de genre chez les mineurs ?
Ce groupe de personnes militantes nous rappelle celui constitué par l’OMS en 2006 pour établir les recommandations sur l’éducation à la sexualité, aujourd’hui appliquées dans les écoles de nos enfants.
La première réunion de ce groupe a déjà été programmée, les 19-21 février 2024, au siège de l’OMS à Genève. Il semble que l’intention est d’aller vite…
(Vous pouvez découvrir la composition du groupe de l’OMS – en anglais – en suivant ce lien)
Avec pour ordre du jour, « interpréter les preuves », « formuler des recommandations » et « suggérer une mise en œuvre » concernant :
La promotion des traitements affirmant le genre,
La formation des cliniciens,
Les politiques de santé,
La « reconnaissance légale de l’identité de genre autodéterminée ».
Il est invraisemblable que seule une vision transaffirmative soit représentée dans ce groupe, alors qu’aucun des docteurs internationalement reconnus dans ce domaine n’en fait partie.
L’objectif est biaisé : il ne s’agit pas de chercher la vérité dans l’intérêt supérieur des enfants, mais bien de pousser un modèle social transhumaniste, dont on sait par ailleurs qu’il est délétère sur la santé physique et psychique des mineurs.
C’est pourquoi je vous propose de nous mobiliser aujourd’hui, et de nous joindre à ceux qui demandent des comptes à l’OMS sur la partialité de ce groupe composé non pas d’experts, mais plutôt de personnes déterminées à faire avancer la cause trans en ciblant les enfants !
La France est un des plus grands contributeurs de l’OMS, et les recommandations qui seront produites vont directement concerner nos enfants dans les années à venir.
Il est URGENT d’agir pour montrer que nous ne sommes pas dupes !
Le fonctionnement de l’OMS est indigne, et la France devrait prendre de la distance vis-à-vis d’institutions internationales de santé ayant si peu d’éthique et de rigueur déontologique…
J’ai signé la pétition de la SEGM (Society for Evidence-Based Gender Medicine) pour SOS Éducation, et je vous invite à la signer aussi !
?Faites vite, elle ne sera disponible que très peu de jours, jusqu’à ce dimanche 7 janvier 2024.?
Le but est de dépasser les 10 000 signataires en un temps réduit, pour faire réagir l’OMS.
Il faut absolument que les grands spécialistes internationaux figurent dans ce groupe d’experts, pour que ses travaux se penchent vraiment sur la question transidentitaire chez les enfants.
Retrouvez la traduction complète de la pétition ci-dessous, et suivez ce lien pour la signer directement !