Le consensus, l’Organisation mondiale de la santé, Steve Kirsch et Del Bigtree pensent qu’il existe des virus créés en laboratoire. Cela ne veut rien dire. Il faut montrer les preuves. Vous ne parlez pas de ce qu’il y a d’autre. Il s’agit de prouver une déclaration. Ils essaieront de vous déconcerter et de vous embrouiller, mais c’est le processus. On entend souvent cela. Les gens disent des choses comme : « Il y a ce viral. Nous sommes constitués de centaines de millions et de milliards de virus. » La question à poser à cette personne est la suivante : « Comment vous, eux ou un virologue sont-ils parvenus à ce chiffre, à ce nombre et à ce fait ? »
Voici le point important. Il se passera l’une des deux choses suivantes. A) Ils ne le sauront pas, auquel cas ce qu’ils disent n’est pas valable, ou ils diront quelque chose comme : « Nous avons trouvé de petits morceaux d’ARN dans un échantillon d’expectoration, et nous en avons conclu que chaque morceau d’ARN doit représenter un virus. Par conséquent, il y a dix quadrillions d’ARN, ce qui signifie qu’il y a autant de virus », bien qu’aucun de ces morceaux n’ait jamais été corrélé à une entité appelée virus. C’est la théorie de l’éléphant.
Il en va de même pour les fuites de laboratoire. Montrez-moi la preuve qu’un virus circule dans la population. Ils peuvent vous donner des brevets et toutes sortes d’histoires sur les éléphants, mais ils ne peuvent pas vous montrer le virus. C’est parce que les gens ne connaissent pas cette façon de poser des questions. Vous faites une déclaration. Nous entrons ensuite dans la nouvelle biologie. On dit que l’ADN est le matériel héréditaire et que l’ADN est stable. Il est le même tout au long de la vie.
L’ADN est le même dans toutes les cellules et tous les tissus de votre corps. C’est l’une de ces choses qui sont apparues à la fin des années 1800. L’ADN et les mutations de l’ADN sont les organes ou le moteur de l’évolution et du changement des espèces. La fonction de l’ADN, pour ne prendre qu’un exemple de la nouvelle biologie, est de coder les protéines. Telles sont les déclarations qu’ils font.
Nous ne parlons pas ici de mes théories ou de mes hypothèses sur ce qu’est l’hérédité. Je dirais : « Vous restez, mais l’ADN code pour les protéines ». Combien de protéines y a-t-il dans un être humain ? 200 000. Combien de gènes, c’est-à-dire les séquences qui codent pour les protéines ? Environ 10 000 à 20 000. Comment se fait-il que 10 000 à 20 000 codes codent pour 200 000 protéines ? D’où viennent les 90 % restants ? Ils sont réarrangés d’une manière ou d’une autre, ce qui est absurde. Cela soulève un autre point dont j’aimerais que les gens entendent parler, à savoir les sophismes de réification.
ON NE TOMBE PAS MALADE PARCE QU’ON A UN DEFICIT PHARMACOLOGIQUE DANS SON CORPS!