Pendant que des policiers se mettent en arrêt maladie pour soutenir les criminels dans leurs rangs, la Sécurité sociale fait la chasse aux arrêts maladie.
La Sécurité sociale veut mieux contrôler les médecins
En 2022 il y a eu 1,6 milliard d’indemnités journalières, (les arrêts de travail des salariés), alors que c’était 1 milliard en 2009.


Un commissariat niçois ferme ses portes pour protester contre la détention provisoire d’un policier à Marseille.
Ndlr: Je résume, un mec qui se fait tabasser par la police ou qui vole une canette n’a pas le droit à la présomption d’innocence et va directement en détention. Si on soutient ces gens là et qu’on manifeste, la classe politique dit que c’est un scandale, par contre quand les policiers manifestent car la justice a enfin fait son boulot ça parle chinois.
Ce n’est pas parce que ces gens ont un uniforme qu’ils ne doivent pas avoir les mêmes droits que nous et être protégés de tout délit.
Via:
https://twitter.com/BFMTV/status/1683538850180677661?t=8PzDnPS_naWBsWg37oRbeQ&s=19
Réaction des députés suite à la détention du policier.
David Guiraud (LFI): « Nous sommes face à des organisations policières factieuses qui demandent à ce que la police soit au-dessus des lois »
Manuel Bompard (LFI): « Le président de la République aurait dû suspendre le directeur général de la police nationale et le préfet de police de Paris »
Bruno Retailleau : « Le DGPN a raison. Un policier ne devrait pas être incarcéré avant son procès. Le contrôle judiciaire devrait suffire en particulier lorsque les infractions présumées ont été commises dans un contexte d’hyper-violences contre la police. »
Mathilde Panot a décidé de saisir le procureur de la République
Via:
https://twitter.com/BFMTV/status/1683586751909056512?t=P_lLYM9vUnjH8LU9EIQXXw&s=19
https://twitter.com/BFMTV/status/1683556214792245248?t=a0FhR-vTnMzn5ZlOxOSQqw&s=19
https://twitter.com/BrunoRetailleau/status/1683452986415104000?t=5pMXJSRz4SvTG00k4wpYcA&s=19
Les deux principaux syndicats de magistrats jugent « gravissimes » les propos de Frédéric Veaux, patron de la police nationale, qui ne veut pas voir « un policier dormir en prison ».
Le directeur général de la police nationale a souhaité que soit libéré un policier de la BAC de Marseille incarcéré dans le cadre d’une enquête sur des violences policières commises en marge des émeutes début juillet.
Le Syndicat de la magistrature « Le directeur général de la police nationale, sous la tutelle du ministre de l’Intérieur, fait pression sur l’autorité judiciaire dans une affaire individuelle. (…) Le président de la République doit réagir »
Il y a un principe fondamental dans une démocratie : la loi est la même pour tous. Les policiers qui commettent des infractions dans l’exercice de leurs fonctions sont passibles de sanctions pénales », a également souligné la présidente du Syndicat de la magistrature, Kim Reuflet.
Les propos du patron de la police nationale sont « scandaleux » et « gravissimes dans un état de droit », a également réagi Cécile Mamelin, vice-présidente de l’Union syndicale des magistrats. « C’est stérile et dangereux. On attend une réaction au plus haut niveau de l’Etat pour remettre les pendules à l’heure. Une détention provisoire répond à des critères précis, légaux (…), c’est une décision de justice qui ne préjuge en rien de la culpabilité et qui peut faire l’objet de voies de recours »
Via:
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/policier-incarcere-a-marseille-les-syndicats-de-magistrats-jugent-gravissimes-les-propos-du-patron-de-la-police_5968913.html
https://twitter.com/SMagistrature/status/1683384746204692480?t=M2mfjSCt6XZDyIJDNYErDA&s=19
https://twitter.com/USM_magistrats/status/1683448540725387264?t=y2GhRbpfxtDAEy0x76B1Pw&s=19


Regardez « FACE AU « COUP D’ÉTAT POLICIER » : L’INDÉCENTE LÂCHETÉ DE MACRON » sur YouTube
https://youtube.com/watch?v=hQvdkt8fIjg&feature=share9
Manuel Bompard (LFI): « Le président de la République aurait dû suspendre le directeur général de la police nationale et le préfet de police de Paris »
Macron toujours dans le « en même temps »
Via https://twitter.com/BFMTV/status/1683586751909056512?t=U6d5z7unG_X8eitxBRKTRg&s=19
« La différence entre une démocratie et un régime autoritaire se situe au niveau de l’égalité de chacun devant la loi »
Le régime de la détention provisoire est régi par l’article 144 du Code pénal. Il prévoit l’emprisonnement d’un individu qui n’a pas encore été jugé s’il s’agit de la seule manière de préserver le bon déroulement d’une enquête, de protéger la personne mise en examen ou encore de mettre fin à « un trouble exceptionnel et persistant à l’ordre public provoqué par la gravité de l’infraction ». Cet article s’applique aux forces de l’ordre comme à n’importe quel citoyen. À rebours, les propos de Frédéric Veaux tendent à faire valoir la mise en place d’un régime dérogatoire qui épargnerait aux policiers suspectés de délit ou de crime d’avoir à passer par la case prison tant que la justice ne s’est pas prononcée sur les faits reprochés.
Lire l’article sur public sénat
David Guiraud (LFI): « Nous sommes face à des organisations policières factieuses qui demandent à ce que la police soit au-dessus des lois »
Via https://twitter.com/BFMTV/status/1683556214792245248?t=rDVnUqz4LjqIFqYwT1aEcg&s=19
Policier en détention provisoire à Marseille: « La police est sous l’autorité judiciaire », rappelle la magistrate honoraire et membre du bureau de la Ligue des Droits de l’Homme, Évelyne Sire-Marin
Via https://twitter.com/BFMTV/status/1683493173631373312?t=LNBf2wmqfLU8VUXLILB0qA&s=19
Le DGPN et le Préfet de Police de Paris, semblent tous deux remettre en cause publiquement la justice.
Mathilde Panot
Via https://twitter.com/MathildePanot/status/1683483982715838464?t=_YT21lop86CiQaFau3qxqg&s=19
Propos du DGPN Fréderic Veaux et du Préfet de Police Laurent Nuñez : j’ai décidé de saisir Mme la Procureur de la République pour des faits pouvant constituer une infraction sur la base de l’article 40 du Code de Procédure Pénale.
Mathilde Panot
Via https://twitter.com/MathildePanot/status/1683483982715838464?t=_YT21lop86CiQaFau3qxqg&s=19
« Il devait se prononcer et le désavouer »
Patrick Baudouin, président de la Ligue des Droits de l’Homme, regrette qu’Emmanuel Macron n’ait pas condamné les propos du patron de la police
Via https://twitter.com/BFMTV/status/1683479676763734023?t=qYBMlaZKtO3JEMMmL1774Q&s=19
Placement en détention provisoire d’un membre de la BAC pour «violences volontaires». La police se met en « grève » et les réactions s’enchaînent :
Frédéric Veaux (DGPN) : «Avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même si il a pu commettre des fautes graves». Laurent Nunez, Alliance PN, le SCPN ont déclaré partager les propos du DGPN.
J-M Fauvergue (ancien directeur du RAID) : «On doit traiter les policiers différemment, il doit y avoir une inégalité dans le traitement […] il doit y avoir une excuse de violence par rapport aux policiers »
Après les propos du DGPN, l’entourage de G. Darmanin confirme la confiance que porte le ministre à Frédéric Veaux
Macron à déclaré comprendre « l’émotion » mais rappelle que « nul en République, n’est au-dessus de la loi »
Darmanin se sent « trahi » et « dégoûté » par le maintien de Borne : cette affaire de violence policière serait-elle instrumentalisée par le « clan Darmanin »?
Rester Libre ! Le canal libertarien
Policier écroué à Marseille : un sociologue constate une « fronde organisée à l’intérieur de l’État » après les propos du directeur de la police
Sebastian Roché, sociologue et directeur de recherche au CNRS, dénonce le soutien du directeur de la police et du préfet de police de Paris à un policier écroué en détention provisoire.
Les soutiens du directeur général de la police nationale et du préfet de police de Paris à un policier mis en examen et placé en détention provisoire sont « une sorte de fronde organisée à l’intérieur de l’État », observe Sebastian Roché lundi 24 juillet sur franceinfo. Le sociologue, directeur de recherche au CNRS, affirme qu’entendre deux chefs de police souhaiter la libération d’un policier écroué est « sans précédent ».
Via France info
Ce communiqué est républicain, à la hauteur des périls démocratiques. Son pluralisme et ses désaccords n’empêchent pas la gauche de s’unir sur l’essentiel. Tous les démocrates, où qu’ils soient, devraient suivre cet exemple. Et renoncer à diaboliser l’opposition de gauche.
Edwy Plenel

Appuyé par le préfet de police, relayé par le Porte-parole de la Police nationale, l’appel du DGPN Frédéric Veaux à une immunité carcérale pour les policiers est un coup de force contre l’État de droit avec le soutien du ministre de l’Intérieur. Oui, ce pouvoir égaré ouvre la voie aux forces antidémocratiques.
Edwy Plenel
Via https://twitter.com/edwyplenel/status/1683435769011093505?t=8CBRsf0l2H6imT5J4wmvFw&s=19

« Je ne vais pas commenter des propos du DGPN (…) de là où je suis, en tant que garant de le l’autorité judiciaire »
Pour ceux qui en doutaient encore, le président français prend parti pour les séditieux.
Arrêtons de parler de « démocratie illibérale », concept bancal, libéral et euphémisant.
Ce président est un fasciste, dont le pouvoir ne tient que par la répression armée.
Via Barbara Stiegler
https://twitter.com/B_Stiegler/status/1683449065441222657?t=XY9x4RbZiZj3YuPoi3UX9w&s=19
#Macron13h
Vidéo via https://twitter.com/achabus/status/1683437040086523905?t=1HM27kTLuoCH-Q2OHZM0jw&s=19
Forces de l’ordre : « En aucun cas nos hommes sont là pour protéger monsieur Macron ». Extrait du Débriefing avec Aurelie Laroussie, Président des FFOC.
L’entretien complet
L’entourage de Gérald Darmanin a affirmé la confiance du ministre en Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale. Le patron des forces de l’ordre a dit soutenir le policier marseillais en détention provisoire mis en examen pour des faits de violence en réunion.
Il est temps de l’écrire en toutes lettres.
Suite à ses dérives fascisantes, notre Etat est en train d’affronter une MUTINERIE. La police factieuse menace notre pays.
Et pendant ce temps la macronie s’excite sur LFI et attaque la République sociale.
Via Barbara Stiegler https://twitter.com/B_Stiegler/status/1683254555990020096?t=XnOtqs53PZkcU5eK0WPNFQ&s=19
Lire aussi sur ce sujet
https://t.me/savoirlibre/46080
https://t.me/savoirlibre/46081
https://t.me/savoirlibre/46082
https://t.me/savoirlibre/46084
https://t.me/savoirlibre/46085
https://t.me/savoirlibre/46088
https://t.me/savoirlibre/46089
https://t.me/savoirlibre/46090

Nous sommes en 1983. Le ministre de la justice Robert Badinter est accusé de laxisme par la police. Une manifestation de 2.500 d’entre eux est organisée sous les fenêtres du garde des Sceaux pour réclamer sa démission !
La réaction de l’exécutif est immédiate : mise à la retraite, suspensions et révocations dont
– le limogeage du directeur général de la police nationale
– et la démission du préfet de police de Paris
En 2023,
– le président de la République Macron ne commente pas
– le ministère de l’Intérieur de Darmanin a « une très grande confiance » dans le patron de la police
– le président de la République Macron ne commente pas
– la Première ministre a piscine !
Qui c’est le président ?
Via https://twitter.com/CharliesIngalls/status/1683544716359475200?t=b2sAoeUlrymEFDD5EjBBvA&s=19
C’était effectivement une autre ambiance, il y avait des gens qui exerçaient leur autorité à la tête de l’État sur la police à l’époque.
Via https://twitter.com/achabus/status/1683150401527218178?t=mjKIMfzG8l5TkQUeloaThA&s=19
À Marseille, les faux arrêts maladie se multiplient dans les commissariats et on n’entend pas la macronie gueuler sur la fraude sociale…
Via:
https://twitter.com/BFMTV/status/1683539127516446724?t=0dlaRIvUyxe5wokIOTE8aA&s=19
Selon Sébastien Roche, la France devient une « démocratie policière » avec « des moyens et des prérogatives exceptionnelles ».
Le politiste Sebastian Roché explique la gravité des propos tenus par les deux plus hauts responsables de la police nationale, en soutien à un policier incarcéré. Sans précédent, ils révèlent selon lui la fragilité politique du pouvoir actuel.
« Les déclarations du directeur général de la police et du préfet de police de Paris violent les principes mêmes de la police démocratique, qui est censée être neutre et agir en référence aux principes du droit. C’est vertigineux »
Patrick Baudouin, président de la Ligue des Droits de l’Homme, regrette qu’Emmanuel Macron n’ait pas condamné les propos du patron de la police
« Il devait se prononcer et le désavouer »
La réponse du président du tribunal judiciaire de Marseille au directeur général de la police nationale et au préfet de police de Paris :
Le président du tribunal judiciaire de Marseille appelle à « garantir la sérénité du cours de la justice »
« L’indépendance de la justice est un principe constitutionnel et une garantie essentielle dans un Etat de droit »

Des policiers appellent à se rendre au domicile du juge responsable du placement en détention provisoire de leur collègue à Marseille, sur des boucles Telegram et Whatsapp.
Via:
https://twitter.com/marcendeweld/status/1683442764376096768?t=_l6I5oI2K8YZ3L3PnBhsIQ&s=19
L’entourage de Gérald Darmanin a affirmé la confiance du ministre en Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale. Le patron des forces de l’ordre a dit soutenir le policier marseillais en détention provisoire mis en examen pour des faits de violence en réunion.
Les Syndicats, direction de la police nationale et préfet de police de Paris ont décidé de s’exprimer contre une décision de justice, pour remettre en question l’institution de la justice et l’égalité face à la loi.
Un policier a été mit en détention car il a tabassé un jeune avec ses collègues, lors des émeutes. Frédéric Veaux, le patron de la police a réagit: « Avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison ».
Laurent Nuñez « partage les propos » du chef de la police.
« Je partage les propos du DGPN. Fier d’avoir été préfet de Police des Bouches-du-Rhône et aujourd’hui à la tête des 30 000 policiers de Paris et de l’agglomération parisienne. »
Les Réactions :
Sébastien Roche:
« Devant l’irruption en politique du DGPN et du PP de Paris, une seule question : Macron est il toujours le Président ? Soit ses hauts fonctionnaires violent les principes supérieurs de l’Etat de droit avec son assentiment. Soit il a perdu la main. Dans les 2 cas c’est inquiétant. »
Olivier Faure:
« Gravissime, toute la hiérarchie policière se place au dessus de la justice & des règles de la détention provisoire et le ministre de l’Intérieur est en arrêt maladie ! Ce qui se joue là, c’est la démocratie et le respect de l’État de droit. Le parlement doit être réuni en urgence »
Pas de véhicule de police Secours sur le 12e, 100% en congés maladie. Dans le 8e, la PS nuit refuse de sortir vu la proximité avec l’Elysée. Code 562 en journée.
En soutien à leurs collègues, les policiers sont appelés à « ne plus verbaliser ».
Laurent Martin de Frémont, (secrétaire général Unité-SGP Police 06) a demandé « à tous les services des Alpes-Maritimes » de ne plus faire d’initiative, « de ne plus verbaliser ou faire de chiffre » jusqu’à nouvel ordre.