Peine de mort » pour les opposants au Covid ?

« Peine de mort » pour les opposants au Covid ? Article KLA.TV du 10 Avril 2023 

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Série de décès soudains et mystérieux de personnalités influentes qui se sont opposées publiquement contre la Politique Mondiale de Gestion du Covid.

ont opposées publiquement contre la Politique Mondiale de Gestion du Covid.

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Défini par « Conspirancy Watch » comme étant un site antisémite et conspirationniste. Malheureusement , nous avons compris que les livres, sites, journalistes dits « conspirationnistes », sont automatiquement fustigés comme étant antisémites. A ces mots, les gens ne les liront pas, c’est automatique.

Pour avoir lu certains de ces auteurs (malgré tout), au final ces livres n’ont fait que de défendre, au contraire, l’intéret du Peuple juif victime des méfaits de certains « banquiers internationaux » (Voir à ce propos nos Revues 13 à 19 de William Guy Carr et Revue 12 & Hitler et l’usure avec Rabbi Yaron Reuven

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Source

Tanzanie :
Magufuli s’est fait connaître au niveau international lorsqu’il a publiquement mis en doute la pertinence des tests PCR et mis fin à leur utilisation ainsi qu’à l’enquête de statistiques sur le Covid.
Il est l’un des rares chefs de Gouvernement au monde à avoir résisté à la pression d’introduire des mesures coercitives contre son peuple. En juin 2020, il a déclaré son pays exempt de Covid. Son peuple l’a ensuite réélu le 28 octobre avec 84 % des voix. Après avoir refusé les vaccins Covid début 2021 parce qu’ils n’avaient pas été suffisamment testés, un article sponsorisé par la fondation Bill et Melinda Gates a été publié le 8 février dans le quotidien The Guardian, déclarant que Magufuli représentait un danger pour la santé publique. Quelques jours plus tard, du 12 au 22 février, la Tanzanie a connu une série de décès d’hommes politiques de haut rang : le ministre du Travail dans un accident de la route, le secrétaire en chef de la présidence ainsi que le secrétaire d’État de longue date pour une raison inconnue. Le vice-président de Zanzibar et le directeur de la Banque de Tanzanie sont également décédés à cause du Covid-19. Le président Magufuli a été vu pour la dernière fois en public fin février et son décès a été annoncé en mars. Les causes évoquées sont la crise cardiaque « dûe au Covid-19« . Après la mort de Magufuli, sa successeuse Hassan a réintroduit le 6 avril l’enregistrement du nombre de cas de Covid pour la Tanzanie et a lancé peu après une campagne de vaccination.

Burundi:
Le 12 mai 2020, le Président Pierre Nkurunziza a expulsé les représentants de l’OMS du pays, car il ne souhaitait pas d’ingérence. Il s’est fermement opposé à un confinement et a qualifié la pandémie d’escroquerie.
Pierre Nkurunziza est décédé le 8 juin 2020 à l’âge de 55 ans d’une crise cardiaque.
Son successeur, Évariste Ndayishimiye, a qualifié le coronavirus de pire ennemi du pays et a lancé une campagne de détection.

Eswatini :
Le Premier ministre Ambrose Mandvulo Dlamini souhaitait lutter contre la pandémie par ses propres moyens et continuer à développer les structures de santé déjà en place dans son pays. Il est décédé le 13 décembre 2020 à l’âge de 52 ans. Deux de ses ministres (Lien & Lien) sont décédés peu après, en janvier, tous avec le Covid-19 comme cause de décès.
Le Gouvernement a commandé 1,3 million de doses de vaccin pour l’Eswatini en janvier et les vaccinations ont commencé en mars avec AstraZeneca.

Afrique du Sud, Zimbabwé et Malawi :
En janvier 2021, douze hommes politiques étaient morts en Afrique du Sud et quatre ministres au Zimbabwe voisin, en l’espace d’une semaine.
Les événements au Malawi ont été particulièrement frappants : un tribunal a estimé qu’un confinement affecterait injustement la population pauvre, ce qui a poussé le gouvernement à ne pas l’imposer.En l’espace de 48 heures, trois ministres en exercice et l’ancien chef de la banque centrale sont décédés, tous victimes du Covid-19.
Six jours après ces décès, le Gouvernement du Malawi a imposé pour la première fois un confinement, et en mars, les vaccinations ont commencé avec AstraZeneca.

Haïti :
En Haïti, ni les autorités ni les habitants du pays n’ont respecté les mesures Covid, les centres de traitement ont fermé en raison du nombre insuffisant de patients. En mai, plus de 700 000 doses de vaccin ont été refusées, et en juin, à nouveau 130 000 doses d’Astra Zeneca en raison d’effets secondaires possibles. Selon ce rapport, les autorités ont stoppé à plusieurs reprises l’importation de vaccins Covid, de sorte qu’en juin 2021, Haïti était le dernier pays américain où la vaccination n’avait pas encore commencé.
Dans la nuit du 7 juillet, 28 hommes lourdement armés se sont avancés vers la maison du président Jovenel Moïse. Certains ont pénétré dans sa chambre à coucher et l’ont abattu.
Après la mort de Moïse, des troubles massifs ont éclaté dans le pays. Insensible à cela, Haïti a lancé peu de temps après une vaste campagne de vaccination.

Allemagne :
En automne 2020, trois hommes influents ont annoncé qu’ils s’opposeraient à un deuxième confinement : Thomas Oppermann, Mario Ohoven et Franz Klein.

Thomas Oppermann a été vice-président du Bundestag allemand et a vivement critiqué la chancelière Merkel pour avoir voulu imposer les mesures Covid sans la participation du Parlement. Fin octobre, il a demandé un débat général sur les restrictions des droits fondamentaux. Il s’apprêtait à exposer sa position le 25 octobre dans l’émission « Berlin direkt » de la ZDF lorsque, à 66 ans, il s’est soudainement effondré et est décédé. La cause du décès n’a pas été élucidée.

Mario Ohoven était président de l’Association fédérale allemande des petites et moyennes entreprises depuis 1998. Il a écrit plusieurs fois directement à la chancelière fédérale pour éviter un deuxième confinement. Dans un appel publié le 29 octobre, les points suivants ont été remis en question – je cite : « … si les mesures sont également proportionnées au sens juridique et donc en accord avec notre constitution. En tant qu’association, nous allons demander un tel examen dans l’intérêt des classes moyennes. A la fin, il pourrait y avoir une saisine de la Cour constitutionnelle fédérale. » Deux jours plus tard, le véhicule d’Ohoven a percuté la glissière de sécurité centrale sur l’autoroute pour une raison inconnue, entraînant son décès.

Franz Klein était le chef de l’association des hôtels et restaurants de Hambourg. Lorsqu’en novembre, la loi sur la protection contre les infections devait être renforcée, l’association a annoncé qu’elle allait porter plainte devant la Cour constitutionnelle fédérale. Deux jours plus tard, Franz Klein est décédé de manière soudaine et inattendue à l’âge de 72 ans.

A partir du 2 novembre, l’Allemagne a connu un nouveau confinement, qui s’est durci en décembre. Ce n’est qu’au bout de quatre mois que des assouplissements progressifs ont été décidés.
Entre-temps, la campagne de vaccination, massivement promue comme seule issue à la pandémie, avait commencé.

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Source (où vous trouverez les Sources de chacuns des cas cités)

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