LIBERTÉS La Contrôleuse des lieux de privation de liberté et la Défenseure des droits ne sont pas des opposantes : elles ont été nommées en 2020 par Macron. Aujourd’hui toutes deux sont sidérées par les atteintes de sa présidence à l’État de droit.
Le plus inquiétant, au-delà des violations de l’État de droit que ces deux contre-pouvoirs documentent, c’est l’attitude du ministre de l’intérieur Darmanin à leur égard : il conteste le principe même d’autorités indépendantes face aux abus du pouvoir. Edwy Plenel
Ce n’est pas une insoumise, c’est une professionnelle intègre qui tire la sonnette d’alarme. Fini la diversion contre la France insoumise ! L’exécutif laisse bafouer les droits fondamentaux en France. G. Darmanin doit assumer son échec et partir.
Dans un courrier à Gérald Darmanin, Dominique Simonnot relève un « nombre important de procédures conduites en méconnaissance des normes et principes qui régissent la procédure de garde à vue, voire, dans certaines situations, en violation des textes applicables ».
Via https://twitter.com/A_Saintoul/status/1653658394350288900?t=ArCe6rvW3GSEIvIcko-kRA&s=19
«On voit en France et dans les déclarations d’Emmanuel Macron des velléités de contester des droits fondamentaux», Sebastian Roché, politologue et directeur de recherche au CNRS
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en podcast audmns.com/kLiNvMO
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Liberté de la presse en France : « Il y a un problème. C’est difficile de rendre compte de certaines réalités et d’enquêter en France, aujourd’hui, quand on est journaliste », alerte Pauline Ades-Mevel
Retraites : La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté dénonce « une instrumentalisation des gardes à vue à des fins répressives »
Dans son rapport rendu mercredi, la contrôleuse générale pointe des « interpellations violentes », des « conditions d’hygiène indignes » en garde à vue et des « irrégularités », après avoir contrôlé neuf commissariats le 24 et 25 mars dernier.
Lire aussi : La France conteste des droits fondamentaux de sa population
La contrôleure générale des prisons rapporte que les policiers ont pris l’habitude de déshabiller les gardés à vue, sans raison valable.
Dominique Simonnot dénonce des atteintes graves aux droits fondamentaux des personnes placées en garde à vue.
« Les policiers ont pris l’habitude de déshabiller les gardés à vue. Le rapport parle d’hommes laissés en caleçon et de femmes en culotte obligées de retirer leur soutien gorge. »
Via:
https://twitter.com/Qofficiel/status/1654561608147013633?t=wv16oJact_G-FiAi2IpQfw&s=19