Le raisonnement du pervers narcissique (PN) ou la Matrice mentale binaire. Lorsqu’on a un problème à gérer, on nomme un expert. Et cet expert doit valoriser son travail en résolvant le problème. S’il résout le problème, il n’est plus rien et perd alors toutes valeurs dans la société. Il doit rechercher un nouveau travail où il sera néophyte. Ce qui serait insupportable pour le narcissique pour la gestion de son image. Si le problème augmente, il prend plus de poids dans le système sociétal. Il est valorisé. Cela ne dérangera pas le pervers d’aider en ce sens. Et cela aidera au final aussi à son image et donc à son côté narcissique. En mettant en place un système contrôlé par des PN, on arrive à créer un système auto-controlé par un asile de fous ! Cela nous mènera à Armaggedon. Cela est écrit, Nostradamus en a parlé longuement. Le PN est toujours d’accord avec son chef et peut même chercher des arguments pour surenchérir. Pour cela, il pourra user de mauvaise foi, tant qu’il trouve une explication logique. Un monde de PN entraînerait ainsi assurément à l’extinction de notre civilisation. L’important pour le PN n’est pas la finalité mais sa valorisation sociale, c’est un sociopathe, un technocrate. Il sait que pour progresser, s’il est un élève modèle, il sera bien noté et que pour réussir dans notre société, il faut toujours être bien noté. La conscience n’entre jamais dans sa logique. Si son chef dit A le matin et B l’après-midi, il s’adaptera. Ainsi, toute bonne idée qui peut libérer l’être humain peut le rendre encore plus esclave si le sujet est piloté par un PN ou un groupe majoritairement PN. Les exemples sont multiples : 1. Les politiques créent des commissions (groupes d’expert) et des agences internationales (à 3 lettres) pour résoudre des problèmes internationaux… 2. Depuis que la ligue contre le Cancer a été créée, il y a de plus en plus de cancer… 3. L’industrie du vaccin est toujours plus forte pourtant les vaccins tuent de plus en plus… 4. On sait que le tabac tue, mais on préfère l’écrire sur les paquets plutôt que d’arrêter sa production mondiale. Etc… Celui qui s’oppose au PN, c’est l’artiste. Il fonctionne à l’intuition. Il ne raisonne pas, il ressent ! Cela semble brouillon, mais au final, si on lui fait confiance, le puzzle s’assemble et cela donne toujours un bon résultat voire un excellent. Et surtout, il ne complexifie pas le processus. Par certains côtés, il peut faire peur car il n’a pas de méthodes : il en inventera une pour résoudre le problème qu’on lui demandera de résoudre.